Le TAI CHI CHUAN, art martial d’origine chinoise. Forme traditionnelle style « YANG » 108 mouvements, forme de l’EPEE et TUI CHOU.
Art martial dit « interne », à la fois exercice physique et technique de santé qui augmente la capacité à se mouvoir librement et naturellement
Le travail des postures améliore l’équilibre, la mémoire, la concentration, la flexibilité articulaire.
Tout au long de l’apprentissage nous développons notre respiration profonde notre équilibre esprit-énergie-corps
au-delà de la pratique de mouvements lents cette pratique chinoise est considérée comme une méditation en mouvements
Méthode Moshe Feldenkrais Prise de Conscience par le Mouvement :
Pratique avec laquelle nous découvrons notre squelette, ses volumes nos articulations.
Cette connaissance ne passe pas par le mental mais par notre ressenti Allongé sur le sol libéré de notre poids à travers une gestuelle précise basée sur la légèreté, la fluidité nous utilisons des parties rarement sollicitées .
L’image de nos possibilités s’en trouvent modifiées et notre fonctionnement optimisé
Nous découvrons ,nous ressentons les transmissions osseuses, nos possibilités de mouvement, nous rentrons en connaissance, en amitié avec notre squelette nous apprécions notre potentiel bien peu exploré.
Comment on s’organise pour réaliser un mouvement est plus essentiel que le mouvement en lui- même.
Cette prise de conscience du mouvement trace un chemin plus accessible aux 108 postures du Tai Chi.
Exemple : à chaque cours les enseignants suivent un groupe différent soit les débutants soit les anciens, cette permutation incite les pratiquants à rester à l’écoute et les enseignants à leur écoute :
« vous expliquez, Michel et toi, la même posture mais avec des mots tellement différents que selon le cours on comprend mieux l’un ou l’autre. »
reproduire un modèle, être dans le volontariat
pas de temps pour l’exploration : il faut reproduire que ce je vois
pas d’autonomie pour notre ressenti
en fait ou suis- je ?
apprentissage basé sur l’expérimentation, l’exploration le ressenti.
apprentissage qui laisse place à ce que nous sommes, à nous d’observer et à prendre en compte les informations qui adviennent.
notre ressenti n’étant pas sclérosé par notre mental, un lien harmonieux nous relie a notre esprit
je recouvrais mon autonomie, mon individualité, ma respiration .
oui on pouvait redécouvrir le coté ludique de l’apprentissage si on abandonnait le côté « trop bien faire »
C’est une grande satisfaction de partager avec les élèves « la prise de conscience de notre globalité en passant par l’exploration des différentes parties du corps, une approche facilitante pour l’ exécution des postures de Taï Chi «